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La descendance de Max Biberon



Recherches faites par Alain Biberon, CD du 22 février 2005, dossier : Descendance de Jacques Biberon.


Max Biberon





Max Biberon


Le 23 janvier 1943, Henri et Max (mon père) s'engagent comme volontaires dans les forces navales françaises libres. Après avoir fait l'école de la marine à Tamatave, Max navigue sur divers navires dont :
-L' Entrecastreaux du 22/01 au 01/09/1944
-L'Emile Bertin du 20/09/1944 au 01/04/1946
-Le Suffren du 01/04 au 20/08/1946
Avec une période du 01/09 au 20/09/1944 à l'arsenal "C.F.I Abdallah", et une période du 11/08 au20/09/1946 au dépôt à Toulon.
A bord de l'Emile Bertin, Max retrouve son frère Henri (radio). Ils participent ensemble au débarquement allié, derrière le front allemand à Anzio (port d'Italie au sud-est de Rome, en Grèce d'occident, nom donné aux terres d' Italie du sud et de la Sicile).
C'est au cours de cette période que L'Emile Bertin reçut pour mission de détruire des canons allemands placés à l'intérieur d'une falaise. Ces canons étant très difficiles à atteindre, l'ordre fut donné au navire amiral d'arrêter les tirs et d'abandonner sa position, mais avant de partir l'Emile Bertin fit feu sur sa cible une dernière fois, la chance fut au rendez-vous et l'objectif fut anéanti. A la suite de quoi tout l'équipage reçut "La fourragère", cordelière aux couleurs de la légion d'honneur, insigne collectif attribué aux unités militaires plusieurs fois citées à l'ordre de l'armée. (Cette histoire me fait penser au fameux film : "Les canons de Navaronne").
Par la suite L'Emile Bertin est envoyé en Cochinchine française. A Haiphong au Tonkin, Paul Biberon vint au devant d' Henri et de Max à l'arrivée du navire. Ils reçurent un accueil chaleureux dans cette famille cousine.




L'Emile Bertin


Henri et Max, à Toulon le17/11/1944.





Le 4 juin 1949 à Tananarive (Madagascar), Colette Chamming's et Max Biberon



Colette Chamming's avec son père



Colette Chamming's



Max et Colette






Morondava, dont le nom signifie en malgache : "aux longues rives" est une ville construite sur une côte instable, menacée par la mer (canal de Mozambique) du sud-ouest de Madagascar, un climat très sec, du soleil toute l'année. Nous habitions une maison de pure style coloniale avec tout autour une véranda, dans la cour du sable, parsemée de cocotiers, de badamiers, jujubiers,etc....
A Morondava, mon père eut une vie heureuse et put s'adonner à loisir à ses passions : la chasse et la pêche.

Les baobabs de la Côte Ouest de Madagascar

Morondava, Madagascar



Maison de Max Biberon à Morondava, Madagascar





Max après une partie de chasse à Morondava.





Max et Colette Biberon à Monségur, Gironde en 1980.



Maison de Max et Colette à Montségur, Gironde, France.



Colette





Vous pouvez contacter Alain Biberon : Alainbib@free.fr ou visiter son site : http://alainbib.free.fr